Lundi, la comédie musicale "Et si on se disait bonjour" revient sur les planches du Palais des Beaux-Arts de Charleroi pour une seconde représentation. Et quelle représentation ! On annonce plus de huit cents personnes dans la salle…
Il nous reste quelques
heures pour peaufiner les derniers détails, reprendre l'un ou l'autre passage
musical délicat avant la générale de demain dimanche.
Eh oui, la
pression monte et cela n'a rien à voir avec de la bière ! Je veux parler de ce
sentiment infiniment délicieux qui, chez moi, précède toujours les grands
moments ! J'adore ces dernières heures où l'on se sent à la fois, confiant et
inquiet, décontracté et tendu.
Je suis fou, me
direz-vous. J'accepte volontiers ce qualificatif et je m'arrange toujours dans
la vie pour vivre ce genre de situation. Et alors, je me sens bien. Et plus
l'instant fatidique s'approche, plus je me sens bien !
Nul doute que lundi
à vingt heures lorsque le rideau rouge va s'ouvrir et que les premières notes
vont jaillir, je me sentirai le mieux du monde !
Promis, je vous
dirai si, une fois de plus, la magie a opéré !
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