Cela faisait bien longtemps que nous n'avions plus mis les pieds dans un supermarché un samedi. Les hasards d'un vernissage et d'autres activités ont fait que...
Après une mauvaise expérience en France (je vous en ai parlé ici même), nous avons levé le pied et profitant de notre statut de pensionnés actifs, nous laissons cette journée aux pauvres gens qui n'ont pas la possibilité d'y aller un autre jour !
Le plus extraordinaire est le nombre d'hommes seuls avec enfant(s). Cette nouvelle race de papa ne semble guère à son aise et nombreux sont les arrêts inutiles.
Puis viennent les familles, nombreuses ou pas, qui sont en constante recherche d'un de leurs rejetons.
Viennent encore les vieux comme nous qui savent ce qui leur faut mais se heurtent régulièrement aux autres groupes décrits ci-dessus. Cela dégénère souvent en embouteillage inextricable où adultes et enfants se faufilent tant bien que mal dans les allées.
Puis vient le moment redouté, la caisse. Si vous prenez trois personnes au hasrd, un client, le client suivant et la caissière, vous en trouverez toujours un (ou une) de mauvaise humeur. Cela semble être une loi physique que je m'efforce toujours de déjouer en souriant devant, derrière et à côté... Et souvent, ça marche !