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Louis


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vendredi 29 février 2008

La saga de la carte

Parfois, il y a des problèmes qui semblent vous poursuivre alors qu'ils semblaient résolus.

Hier, j'ai remarqué que ma banque (ING pour ne pas la citer) avait eu la mauvaise idée de prélever une petite somme (moins de 5 €) pour une "redevance Bancontact" concernant une seconde carte que détient Micheline...

Comme cette redevance n'est pas reprise dans le tarif des opérations, ni sur le site Internet de ING. J'ai considéré qu'elle était indue !

Après des menaces de rétorsion physique sur le personnel de l'agence ainsi que de dynamiter l'immeuble, j'ai eu gain de cause ! Cette excellente institution a décidé, faisant un geste commercial magnanime, de me rembourser la dite-somme.

Vous savez donc ce qu'il vous reste à faire si vous avez le même problème !

Mais, ce n'est pas tout. Comme je suis un client "facile" et "honnête", j'ai donc décidé d'aller reporter cette seconde carte qui ne servait à rien, il faut le dire ! Le préposé a fait le nécessaire pour que, désormais, il n'y ait plus qu'une carte (la mienne) reliée au compte et a détruit la carte (de Micheline).

Sortant de la banque, je suis allé chez un commerçant et j'ai essayé en vain de payer avec ma carte. Je suis donc revenu à l'agence pour expliquer le problème et essayer d'y trouver une solution. La chose bizarre est que le Bancontact de l'agence a bien voulu me délivrer de beaux et bons (?) billets. Croyant à une panne du terminal du commerçant, je suis allé faire un second achat dans mon supermarché favori. Et là, rebelote, "Carte refusée" !!!

Ma troisième visite à la banque m'a permis de devenir l'heureux propriétaire d'une carte provisoire en attendant l'arrivée d'une nouvelle, personne ne comprenant ce qui se passe. Le préposé m'a assuré que cela serait gratuit et m'a demandé de le prévenir au cas où des frais seraient portés en compte... pour me les rembourser au plus tôt. Ils comprennent vite chez ING !

jeudi 28 février 2008

Le trou

Une fois de plus, certains services plus ou moins publics ce croient tout permis.

Depuis près d'une semaine, on avait planté des panneaux interdisant de stationner à peu près en face de la maison. Qu'allait-il se passer ? Que nous réservait-on ? Quelle catastrophe allait sûrement arriver ?

Et bien, mardi, nous avons vu !

Dès potron minet, la "Compagnie des Eaux" a attaqué. Et on a fait intervenir la grosse artillerie. Bulldozer sur camion, deux camionnettes et une armée d'ouvriers tous habillés en orange. On aurait cru des supporters de l'équipe de foot des Pays-Bas !

Dès que l'engin a commencé a travaillé, il y a gros à parier que plus personne n'a pu dormir à cent mètres à la ronde. La chaussée a été attaquée sur quelques mètres de large. Puis, l'action s'est poursuivie avec force coups de pelles manuels pour creuser un trou de plus de deux mètres de profondeur.

Le travail au fond a été rapidement mené et vers les quatre heures de l'après-midi, tout ce petit monde est reparti, la fleur au fusil et le sentiment du devoir accompli !

Le trou a été entouré de guirlandes oranges (bien sûr) et une lampe de chantier a été installée pour éviter les accidents le soir.

Et depuis lors, on attend... Qu'un automobiliste distrait y plante sa voiture, qu'un enfant, bravant l'interdiction orange, y tombe ou que deux véhicules, voulant se croiser, ne se "frottent" le museau !

En attendant tous les chiens du quartier viennent pisser sur les tas de terre noire laissés là...

Allez, je prends les paris... Pas avant la semaine prochaine ? Je crois que je ne me trompe pas car il pleut et vous savez, les supporters de foot, ça n'aiment pas trop l'eau !

mercredi 27 février 2008

Vieilles cartes postales...

C'est dimanche, avec mes deux frères, que nous avons reparlé de notre grand-mère paternelle qui portait le doux prénom de Mercedes !

Il paraît que la famille Bicheroux (son nom de famille) éditait de jolies cartes postales d'Esneux (sur l'Ourthe) et des environs, au début du XXe siècle.

En cherchant un petit peu sur le net, j'ai bien sûr trouvé !

Quelques photos représentant les coins les plus typiques de cette petite ville sont bien à vendre. Que de souvenirs remontent à la surface en voyant le vieux pont, des bâtiments bien connus, au temps de leur splendeur et même la gare.

Il faut dire qu'Esneux a été pour nous un point de ralliement puisque mon grand-père y a habité jusqu'à sa mort en 1960. De plus, mes frères y ont vécu pendant la guerre.

Assez bizarrement, aucune de ces cartes ne montre la "rue Désiré Delville" baptisée du nom de notre arrière-grand-père. Il faut dire que la rue a été raccourcie dans les années 1950, lors de la construction du nouveau pont plus en aval d'une cinquantaine de mètres.

mardi 26 février 2008

Les marionnettes.

Ce soir, à l'entraînement d'impro, nous avons joué comme des gosses.

Eduardo avait amené son castelet et nous sommes tous passés derrière la toile pour présenter une improvisation avec des marionnettes à doigt représentant de nombreux personnages et toute une ménagerie d'animaux.

La première représentation a été faite en solo. La seconde en couple. En matière de folie, nous avons tous dépassé nos limites, les "habituellement fous" sont devenus plus fous et les "habituellement sages" se sont révélés de redoutables comiques (suivez mon regard vers Micheline).

Comment résister à un ballet "Casse-noisettes" joué, chanté et présenté par 6 marionnettes à la fois manipulées par une seule personne ? Comment voir une vieille institutrice se transformer en robot pour sauver la terre de la pollution ? Ou encore un koala catcheur faisant le poirier sous prétexte que c'est ainsi que l'on vit en Australie ?

Et nous avons ri... aussi bien dans la salle parmi les spectateurs que chez les manipulateurs.

L'apothéose fut l'histoire de Noé et du déluge avec quatre personnes prêtant leur voix aux personnages et trois derrière pour manipuler les marionnettes. Un grand instant de bonheur.

Merci pour cette soirée !

lundi 25 février 2008

Un décès

En général, mes interventions sur ce blog sont teintées d'optimisme et de joie mais aujourd'hui, je viens d'apprendre le décès de Monsieur Ernest Hardy, qui a été mon instituteur de première primaire et ensuite mon prof de solfège pendant 6 ans.

Quelle surprise pour un gamin entrant à la "grande école" de tomber face à un tel personnage ! Parfois sévère mais toujours juste, il nous a entraînés sur le chemin de la lecture, de l'écriture et du calcul. Je le revois encore, assis et nous lisant une aventure d'Arsène Lupin, mimant le gentleman cambrioleur en mettant ses deux pieds sur la table. La fabrication du massepain et des pommes en sucre n'ont plus de secrets pour moi, grâce à lui.

Le pont aux ânes, comme il appelait les calculs faisant passer à la dizaine supérieure, les copies "à l'alcool" qui sentaient bon. L'imprimerie du journal de la classe où nous composions les textes comme dans un miroir, dangereux exercice pour des enfants sachant à peine lire. Ma première phrase, écrite le jour de la rentrée : "René a une belle mallette." ou encore ma première lettre écrite à la main droite : un "Y". En ce temps-là, les gauchers étaient peu appréciés et il avait donc proposé à mes parents de m'aider à passer le cap !

Au cours des années, Ernest et son épouse ont continué à avoir des relations amicales avec mes parents et les occasions de rencontre ont été mises à profit pour nous remémorer les bons moments passés avec "Monsieur Hardy".

dimanche 24 février 2008

Repas de famille

Vous allez dire que je parle souvent nourriture, mais nous aimons tous les deux bien manger et nous ne nous en privons pas trop.

Preuve, aujourd'hui, nous sommes allés à Liège, ma ville natale, pour rencontrer mes deux frères et mes deux belles-sœurs.

Évidemment, nous avons été reçus comme des rois et le repas a été excellent : Saumon, sauce mousseline. Couronne d'agneau, pâtes aux légumes de saison. Fromages soigneusement choisis par mon frère et pour terminer en beauté, mousse au chocolat, crème anglaise. Le tout arrosé de vins de qualité amoureusement et généreusement servis.

Tout le repas s'est déroulé dans la bonne humeur et nous avons longuement parlé de fêter ensemble le 75e anniversaire de mariage de nos Parents, qui ne sont plus là mais auraient sûrement apprécié de nous voir réunis avec tous les descendants des invités de 1933...

Une bonne occasion de revoir la famille proche et lointaine.

samedi 23 février 2008

Neveux et nièces, petits-neveux et petites-nièces.

Au programme aujourd'hui, quelques coups de téléphone à mes neveux et nièces.

De temps en temps, j'aime les surprendre ainsi ! Il y a toujours les mille-et-une nouvelles sur les petits-neveux et petites-nièces qui grandissent et qui maintenant décrochent eux-mêmes le téléphone, quand ils ou elles ne jouent pas au football ou au handball.

Pauvres mères de famille obligées d'accompagner leur fils ou leur fille pour faire du sport, du solfège ou que sais-je encore...

Heureusement les pères acceptent eux aussi de conduire l'un(e) ou l'autre à la danse, au tricot, à la cuisine...

Et comme les enfants sont particulièrement doués (comme tous les enfants dont on vous parle !), ils risquent fort de devenir de grands professionnels !

C'est un vrai rêve d'avoir un petit-neveu cuisinier ou une petite nièce championne sportive !

Je m'en réjouis déjà et mes frères aussi !

vendredi 22 février 2008

Le café du coin (version définitive ?)

Vous vous souvenez qu'il y a plus d'un mois, Eduardo nous avait mis à contribution pour l'écriture d'une pièce de théâtre.

Cette fois, je crois bien être arrivé au bout. Les personnages sont bien distribués, les cinq actes de la première version sont devenus quatre. J'espère ne pas avoir déçu la troupe qui va les jouer.

Pour moi, ce fut une véritable révélation. Passe encore d'écrire la pièce, mais le plus enthousiasmant a été de penser le décor, les entrées et sorties, de faire évoluer tout ce petit monde dans le décor banal d'un café de village, de trouver des "trucs" pour que les spectateurs comprennent qui est qui... et surtout de tenir compte du petit nombre d'acteurs masculins disponibles. Diable, un seul homme c'est vraiment peu. Alors j'ai triché. Il y a en fait trois rôles masculins mais... (Je vous laisse la surprise si vous venez voir la pièce)

Il y a quelques années, j'aurais sûrement refusé ce défi. Aujourd'hui, je me sens prêt à en relever d'autres, mais pas tout de suite. Je préfère attendre que ce projet soit bien mûr.

N'empêche, je me demande ce que je vais faire quand j'assisterai à l'une ou l'autre répétition. Je suppose que le modeste metteur en scène qui sommeille en moi va se réveiller et qu'il faudra que j'ajoute mon grain de sel au travail de toute la troupe. Tant pis, il ne fallait pas me provoquer ! Et puis ne dit-on pas qu'un auteur a tous les droits sur son œuvre ?

Maintenant, je vous écris cela mais rien ne prouve que, la semaine prochaine, on ne va pas encore me demander quelques "petites" modifications.

Je suis bien capable de les accepter !

jeudi 21 février 2008

Cure de jouvence

Certains d'entre vous le savaient. Mon vieil ordinateur commençait à me jouer des tours pendables.

C'est donc avec un soulagement certain que, ce matin, j'ai vu arriver le bon docteur Jean-Pierre, appelé à son chevet et qui est venu procéder au remplacement pur et simple du disque dur de l'engin malade.

Oh surprise, l'intérieur de l'ordinateur était passablement poussiéreux et j'ai donc pu mettre à profit mes formations au chant pour prendre de grandes inspirations (par le ventre !) et "souffler" l'engin. Un bon coup de plumeau pour terminer le travail et tout était prêt pour le transfert des données du vieux vers le nouveau disque. Tout s'est déroulé parfaitement et en moins de deux heures, j'ai retrouvé un ordinateur "neuf".

Certes le bruit du disque dur a changé, mais maintenant tout semble fonctionner comme au premier jour.

Vous voyez que cela sert toujours de suivre une formation :

"Travail de la voix", pour enlever la poussière d'un ordinateur.

"Mise en scène, mise en jeu", pour satisfaire Eduardo et sa troupe de théâtre.

et même

"Contons, contons, il en restera toujours quelque chose", pour nous permettre à Micheline et à moi, de participer aux Journées du Patrimoine, dans un lieu digne de notre talent : l'Hôtel de Ville de Charleroi !

mercredi 20 février 2008

Un navarin...


Pour ceux qui ne connaîtraient pas c'est un plat mijoté comprenant de la viande d'agneau, des tomates, des carottes, des oignons, des haricots.

Nous l'aimons tout particulièrement et aujourd'hui, nous n'avons pas résisté. Un bon demi kilo d'épaule d'agneau, les légumes et en moins d'une heure, ce delicieux plat était prêt.

Je l'ai amené tout frémissant sur la table et nous nous sommes régalés. J'y avais ajouté 250 g de champignons passés au beurre et nous l'avons mangé accompagné de semoule de blé style couscous.

Il en reste pour demain. nous le dégusterons avec un autre féculent (riz, pommes de terre ou pâtes) et je suis sûr qu'il sera encore meilleur.

Ah, la cuisine mijotée, il n'y a que ça. Si cela vous intéresse, je fournis la recette !

mardi 19 février 2008

Vaudeville...

De retour de l'entaînement d'impro. Pour la troisième et dernière séance concernant la catégorie "vaudeville" !

Que de portes ! Que d'amants et de maîtresses ! Que de bons copains, que de serviteurs complices, que de servantes actives !

Eh oui, nous avons tourné dans des lieux divers avec une infinité de personnages différents. Hôtesse de l'air, copain d'école, vieille grand-mère, serviteur à l'accent étrange, joueur de billard snob, fille un peu hystérique. J'en passe et des meilleur(e)s...

Notre coach a beaucoup insisté sur le tonus que nous devions avoir au point d'obliger deux personnes à sauter sur place avant de commencer l'impro. Une belle énergie s'en dégage et la scène prend tout de suite une ampleur nouvelle.

Si tout les jouteurs sont saturés, le coach est content, c'était le but qu'il s'était fixé ! Nous saturer pour que cela devienne automatique...

J'ai l'impression qu'il a réussi. Enfin, nous verrons cela lundi, à Quiévrain, en huis clos !

lundi 18 février 2008

L'ACI (Association Carolorégienne d'Impro)

Grand jour pour la petite ACI !

Le nouveau site Internet vient de voir le jour. Par la volonté de notre directeur artistique, Fabian et grâce à Patrice, l'un des nôtres, l'ACI se présente maintenant au monde entier.

Et vous n'avez pas encore tout vu, dans quelques jours, des photos de tous les membres seront publiées. Il paraît que même les vieux aurons leur bobine sur le site !

Ferons-nous peur aux éventuels amateurs qui désireraient rejoindre nos rangs ? Ou les parents rassurés par la sagesse des ancêtres et leurs cheveux blancs, confieront-ils leurs chères têtes blondes à notre association ? Réponse dans quelques semaines !

En tous cas, pour les personnes intéressées, il y aura un week-end d'initiation à l'impro les 22 et 23 mars prochain. Pour être passés par cette voie, nous vous confirmons que cela donne le virus !

Et pour ceux qui veulent assister à une rencontre de qualité, nous leur fixons rendez-vous le jeudi 28 février prochain, à 20 heures, au théâtre Poche.

Tous les détails sur simple demande...

Accès au site de l'ACI.

dimanche 17 février 2008

La journée de l'artisan.

Belle journée ensoleillée pour rendre visite aux artisans.

Nous avons tourné dans la région de Walcourt pour nous arrêter dans une chocolaterie, chez un potier, un fabricant de vin de fraises et d'huile de noix et un spécialiste en calligraphie.

Chaque artisan nous a accueillis avec le sourire et a répondu aux questions que le nombreux public ne manquait pas de poser.

Ainsi savez-vous que le chocolat contient plein de vitamines ? Que le produit dont le potier se sert pour coller les petites pièces ensemble s'appelle la barbotine ? Qu'il faut près de 8 kilos de noix pour fabriquer un litre d'huile de noix ? Et que l'outil utilisé pour polir l'or des enluminures s'appelle un brunissoir ?

Nous nous sommes donc remplis la tête et le ventre aussi par la même occasion !

Diable, déguster un superbe chocolat presque sans sucre, cela ne se refuse pas. Pas plus qu'une petite tasse de café ou un verre de vin de fraises avant de tremper un petit morceau de pain dans l'huile de noix...

Je me demande si ce n'est pas pour cela que je me sens un peu barbouillé !

samedi 16 février 2008

Il gèle...

On vous avait prévenu !

Les températures printannières dont nous bénéficions ne pouvaient durer. Jusqu'à présent, la météo avait été clémente et le printemps n'était plus loin...

Eh bien, NON !

Nous ne sommes que mi-février et le climat belge est "maritime tempéré", comme disent les météorologues. Nous devrons patienter encore plus d'un mois avant le vrai printemps.

J'ai toujours retenu la phrase qu'un ami américain m'a rapportée être un peu le leitmotiv des habitants de la Nouvelle Angleterre (Nord-est des USA) : "If you're not happy with the weather, just wait !"Si vous n'êtes pas heureux du temps qu'il fait, attendez !"

C'est vrai que là-bas, comme ici, le temps est souvent variable.

Nous sommes quand même privilégiés sous nos latitudes !



vendredi 15 février 2008

Un sourire dans le ciel !

Je ne résiste pas au plaisir de vous offrir cette image
Je n'en suis pas l'auteur, hélas...

jeudi 14 février 2008

Saint Valentin

Titre accrocheur et pourtant...

Aujourd'hui, malgré le brouillard et le froid, nous nous sommes promenés dans Charleroi.

Ville Haute, nous n'avons croisé que quelques étudiants frigorifiés et c'est avec plaisir que nous nous sommes engouffrés dans la bibliothèque Rimbaud à la recherche d'un livre d'anecdotes datant de 1899 qui pourrait nous donner des idées de contes.

Les bibliothécaires, pourtant efficaces, n'ont pu que constater que ce livre manquait dans leur collection !

Donc, direction Ville Basse, pour une petite visite chez "Fafouille", une librairie bien sympathique... Nous n'avons pas eu plus de chance. Monsieur Grandchamps connaît le livre que nous essayons de trouver mais n'en possède pas. Il serait d'ailleurs très heureux d'en voir un de près !

Chou blanc donc sur toute la ligne.

Espérons que les services culturels de la Ville nous procureront quelques extraits de ce livre rare pour nous permettre de raconter des histoires de Charleroi lors de la "nuit blanche" des Journées du Patrimoine, en septembre prochain.

Sinon, je pourrai toujours raconter aux gens que "mon Grand-père aimait les pommes" !


mercredi 13 février 2008

Un beau challenge !

Trois heures pour monter une armoire de cuisine en kit !

Deux paquets de 29 kg chacun dont vous sortez une quinzaine de planches de toutes les dimensions, un sachet contenant 4 sortes de vis, six charnières (en deux pièces), un tas de petits trucs et une clé hexagonale...

Premier point : Regarder et lire le mode d'emploi avec attention en commençant par le commencement ! Prendre une grande planche y fixer une petite à l'aide de vis à tête hexagonale. Fixer l'autre grande planche à ce premier montage. Et ainsi de suite...

Deuxième point : Après vissage de 28 vis sur les 30 prévues, la clé hexagonale fabriquée en fer se détériore ! Heureusement, j'ai un jeu de clés "Allen" métriques et le fabricant de l'armoire est italien !

Troisième point : Se munir d'un marteau pour clouer les faces arrière avec de petits clous (29 fournis et seulement 24 utilisés !).

Quatrième point : Positionner les portes et rè
gler les charnières.

Observer le résultat fini et s'apercevoir que...

... tout est dans le bon sens, toutes les planches présentent un joli bord blanc et le haut est en haut et le bas en bas !

Encore une victoire de l'homme sur la machine !


mardi 12 février 2008

Il faut rire tous les jours !

Et aujourd'hui, nous avons été particulièrement servis ! Une impro où Micheline joue le rôle d'une paroissienne vendant ses charmes pour alimenter le tronc des pauvres, face à Fabian, le curé qui vient de recevoir sa confession et Daniel (un petit nouveau bien sympa), enfant de choeur qui aimerait se faire déniaiser dans un confessionnal.

Un fou rire général a suivi les gestes de Micheline qui s'en est donnée à cœur joie.

J'ai vu Fabian ne sachant plus respirer tellement il riait et tous les autres qui n'étaient pas sur la patinoire se tordre de rire.

Même le coach a eu du mal à garder un peu de sérieux. Quand à moi, j'ai bien cru que je n'arriverais pas à me remettre.

Merci pour ces moments privilégiés où l'on oublie tout pour s'éclater et revivre. Du tonus pour toute la semaine !!!

lundi 11 février 2008

L'Hôtel de Ville de Charleroi

L'Hôtel de Ville de Charleroi, œuvre de l'architecte Joseph André, a été inauguré en 1936. Ses trois portes de bronze s'ouvrent sur le hall d'honneur et un escalier de marbre conduit au premier étage où se trouve la Salle des mariages. C'est là que nous avions rendez-vous pour une réunion concernant les Journées du Patrimoine des 13 et 14 septembre prochain. C’est par l’une de ces trois portes que je comptais entrer cet après-midi. Hélas, elles étaient toutes trois fermées et seule la petite entrée arrière était ouverte.

La salle est bien connue puisqu’elle sert aussi de salle du Conseil Communal. La télévision nous l’a montrée sous tous ses angles il y a quelques mois…

C’est bizarre de se trouver assis à la place d’un élu. Mais je ne sais pas qui aura le privilège de s’asseoir à MA place, lors du prochain conseil !

En sortant (toujours par l'arrière !), nous avons quand même jeté un coup d'œil sur le majestueux beffroi qui est repris dans la liste du patrimoine de l'Unesco.

dimanche 10 février 2008

Nuuk ou Godthåb

Pour ceux qui chercheraient encore, Nuuk (Godthåb en danois) est la capitale du Groenland.

La ville de Nuuk fut fondée en 1728 par le missionnaire norvégien Hans Egede sous le nom de Godthåb. Elle fut la première ville de l'île. Elle compte actuellement 13.000 habitants répartis sur 100.000 km² (plus de 3 fois la Belgique !)

Ce beau pays de plus de 2 millions de km² est une province autonome du Danemark depuis 1979 et est aussi appelé Kalaallit Nunaat par ses habitants qui sont environ 57.000.

L’hymne national s’appelle « Nunarput utoqqarsuanngoravit » et je ne résiste pas à vous livrer les deux premiers vers de cet hymne :

Nunarput, utoqqarsuanngoravit niaqqut ulissimavoqq qiinik.
Qitornatit kissumiaannarpatit tunillugit sineriavit piinik.

Que je traduirai immédiatement pour les quelques personnes qui fréquentent ce blog et ne comprendraient pas toutes les belles nuances :

Notre pays, devenu si vieux, ta tête est recouverte de cheveux blancs.
Toujours tu nous portes en ton sein, ton fils, et nous donnes les richesses de tes côtes.

À propos, la température à Nuuk aujourd’hui est de -19°.


samedi 9 février 2008

Du soleil !

Il paraît que cette journée a été la plus chaude des 9 février depuis bien longtemps. La température a dépassé de quelques dixièmes de degré celle du vendredi 9 février 1912...

J'aime ce genre de statistiques qui ne veulent rien dire ! Personne ne sait ce qui se passera demain et si le record de température pour un 10 février ne sera pas battu !

En attendant, le chauffage fonctionne au ralenti, la cuve à mazout se vide très lentement et tout le monde est content de ne pas trop dépenser pour se chauffer. Au moins en Belgique, car je me suis laissé dire qu'à Oulan Bator, en Mongolie, il faisait -20° pendant la journée et qu'à Nuuk, il faisait -24°.

Pauvres Nuukois, cela va leur coûter cher !

Demain, c'est promis, je vous dirai où se trouve Nuuk !

vendredi 8 février 2008

80 ans !

Nous revenons de chez mon ancien chef qui, demain, fêtera ses 80 ans.

Il est né le jeudi 9 février 1928 et, ma foi, se porte toujours bien ! Il y avait près de vingt ans que nous ne nous étions plus vus...

Une petite carte à la nouvelle année, un coup de fil (en général pour annoncer le décès d'un collègue) de temps et temps, telles ont été nos relations depuis son départ de l'usine en 1988.

Bien sûr, il a vieilli, mais moi aussi. Bien sûr, il éprouve quelques difficultés pour se lever de son siège, mais moi aussi ! Pourtant c'est toujours le même regard, c'est toujours la même voix, c'est toujours bien lui...

Nous avons égrené les souvenirs du temps passé ensemble, de 1972 à 1988. Les bons moments nous sont revenus en mémoire et les mauvais ont été "oubliés". Nous avons parlé de tous ceux qui ont croisé nos chemins au cours de ces années. Certaines "figures" sympathiques, d'autres un peu moins !

Bref, quelques heures de plaisir partagé autout d'un morceau d'une excellente tarte préparée par son épouse, d'un ou deux (!) bons verres, le tout agrémenté de bonne humeur.

Merci Chef !!! Merci Maurice !!!

jeudi 7 février 2008

L'année du rat

C'est aujourd'hui que les Chinois fêtent la nouvelle année. Nous entrons de plain-pied dans l'année du rat.

J'ai donc envoyé des messages à Mont-sur-Marchienne et à Taïwan où vivent les deux seules chinoises que je connaisse, ma voisine M, dont je vous ai déjà parlé et sa nièce, Yuan-Yuan, qui est déjà venue en Belgique et a même eu le plaisir (sans comprendre le français) de nous entendre conter, Micheline et moi !

En attendant leur réponse, j'ai un peu cherché les prévisions pour cette nouvelle année. En vrac, voici ce que j'ai trouvé :

Année riche en potentialités réjouissantes.
La recherche du bien-être, de la joie de vivre et du bonheur sera très favorisée.
Les efforts pour améliorer les conditions de vie de l'homme auront le vent en poupe.
Faites des économies pour les années à venir.
Année favorable aux conserves, aux achats, aux emprunts et aux investissements.
Année favorable à la littérature.
Apparemment bonne financièrement, elle cache la possible misère des années à venir.

Décidément, tous les hommes sont les mêmes ! Et que je t'annonce du bon, et que je t'annonce du mauvais... Il y aura toujours quelque chose de vrai !

En résumé, je vais cuisiner, lire ou écrire, essayer d'améliorer mon sort et peut-être m'endetter pour longtemps !

Cela ne m'empêche pas de vous souhaiter : "xin nian hao".

Devinez ce que cela veut dire...

mercredi 6 février 2008

La cinquième de Micheline

La cinquième de Micheline

Oh non, pas la cinquième symphonie !

Mesdames et Messieurs, la cinquième œuvre écrite de Micheline va voir le jour !

Elle vient de recevoir une belle enveloppe de son éditeur avec le manuscrit qu'elle lui avait confié au mois d'août dernier.

Il y avait également une petite note d'appréciation du comité de lecture :
"Belle suite de nouvelles.
Points communs ou liens, enchaînements, presque chaque fois.
Titre bien trouvé : personnage toujours entre deux situations, deux sentiments, deux relations.
Fine psychologue.
Et si peu de fautes ! "

Il y a encore du travail pour les correcteurs avant de fournir une maquette "nickel" et pour moi pour le fignolage, la pagination, la mise en page. Mais je commence à maîtriser le sujet !

Ah oui, j'oubliais le titre : "Nouvelles entre chien et loup", tout un programme !

mardi 5 février 2008

Une fois de plus...

Les prévisionnistes se sont mis le doigt dans l'œil !

Hier, ils avaient tous annoncé un temps de chien pour aujourd'hui... Pluie incessante et grand vent.

Si le vent est bien présent depuis ce matin, la pluie a été fort discrète. De quoi réjouir les gilles de Binche et tous les touristes qui se trouvaient là-bas. Un mardi gras tout ce qu'il y a de plus normal donc puisque les chapeaux en plumes d'autruches ont été sortis et portés !

N'oublions quand même pas que nous ne sommes que le 5 février. Cette année le mardi gras tombe très tôt. Cela ne s'est plus produit depuis 1913 et ne se reproduira qu'en 2160 !

C'est en 325 que le concile de Nicée a décidé de la date de Pâques, donc de celle du mardi gras !

Je vous en parlerai un jour de ce fameux concile.

Mais moi, je trouve qu'on devrait payer les météorologues en fonction de la justesse de leur prévision. Cela permettrait sûrement de faire des économies !


lundi 4 février 2008

La guerre des non-étiquettes !

Cette fois, ça y est, la guerre est déclarée !

Il faut dire que le feu couvait depuis longtemps. Certaines grandes surfaces se croient tout permis. Faites un tour dans les rayons et regardez un peu le nombre d'articles dont le prix n'est pas affiché comme l'exige la loi.

Je l'ai déjà fait remarquer à plusieurs reprises mais sans succès. La personne qui vient écouter mes doléances (toujours la même d'ailleurs !) prétend que tout va bien. Alors, je l'amène devant un rayon quelconque et lui montre...

Cela se termine en général par l'arrivée du (ou de la) responsable du rayon qui ne peut que constater le désastre et que l'on accuse alors de tous les maux !

Consommateurs de tous les pays, unissez-vous ! On vous vole, on vous méprise et non content de cela, on augmente les prix !

Maintenant, c'est décidé, à chaque fois que je constate une infraction, je réclame ! Évidemment, me direz-vous, toi, tu as le temps... Moi, quand je quitte mon travail le soir et que je vais faire mes courses, je suis pressé(e), mes enfants et mon conjoint m'attendent !

Et même quand les étiquettes sont présentes, on vous escroque. Ce matin, en constatant une différence entre le prix affiché et le prix à la caisse, j'ai gagné 18 % sur des yaourts. 90 cents, cela vaut la peine, non ?

dimanche 3 février 2008

Mon beau sapin !

Cet après-midi, nous sommes repassés chez des amis très chers pour leur dire un petit bonjour... A cinq minutes près, nous les rations. Ils avaient envisagé d'aller faire une promenade et s'apprêtaient à partir.

Moyennant le prêt de deux écharpes et d'un lainage, nous avons accepté de les accompagner. Et en avant pour l'Abbaye d'Aulne et une promenade le long de la Sambre. Il faisait plutôt frisquet mais cette marche nous a fait le plus grand bien !

Bien entendu, nous sommes revenus chez eux pour prendre un bon café bien chaud et manger un morceau d'une excellente tarte aux myrtilles achetée sur le chemin du retour.

Oh surprise, en arrivant dans la véranda, le sapin de Noël est toujours là ! Il est décoré de boules multicolores et de guirlandes. Sur le bahut, des boules de verre lumineuses nous incitent à chanter "Il est né le divin enfant" ou encore à attendre la dinde aux marrons, les cougnous ou à chercher la crèche... Eh bien, elle est toujours là, elle aussi, cachée sous le sapin ! Mais il me semble que le bébé a bien grandi...

samedi 2 février 2008

Chandeleur

Fête de la lumière, la chandeleur me laisse toujours une impression de commencement.

Ce matin, à 8 heures, j'ai commencé à voir le jour... Le soleil était presque levé, un coin de ciel bleu est apparu. Même si le froid m'a rappelé que l'hiver était toujours bien présent, la nuit a rapidement fait place au jour et c'est bien ainsi !

Mais n'oublions pas non plus que c'est le jour des crêpes. Nous en avons dégusté deux chacun, chez le Papa de Micheline qui, pour l'occasion, avait préparé une bonne tasse de café. Une coutume bien tenace... et bien appétissante !

Quand je pense que certains passent à côté de ces moments de fête, de joie et de convivialité, cela me désole vraiment.

À mardi pour les beignets de mardi gras ?



vendredi 1 février 2008

Les trains

Deux personnes, une maman et son fils, sont mortes en gare de Jemappes. Ils ont été happés par un train alors qu'ils traversaient les voies...

La télévision nous a appris ce soir que c'est monnaie courante dans cette gare de voir des voyageurs pressés traverser les voies au lieu d'emprunter le passage souterrain existant.

Cette femme de plus de trente ans était-elle dénuée de bon sens ? Pourtant, elle n'était pas pressée puisqu'elle ne devait pas prendre un train, mais probablement rentrer chez elle après avoir déposé son autre enfant dans le train vers Bruxelles.

Nos contemporains sont-ils devenus fous ? Je crois plutôt que notre civilisation nous "oblige" à nous comporter de manière de plus en plus folle ! Il paraît qu'en France, le nouveau jeu à la mode est de se coucher sur les voies et de rester le plus longtemps possible jusqu'à la dernière seconde... Tout cela filmé et diffusé sur Internet, bien sûr !

On commence par ne pas respecter ses semblables et l'on finit par faire une grosse bêtise.

Dans cette histoire, le plus à plaindre, c'est le conducteur du train qui, toute sa vie, aura ces deux morts sur la conscience, même s'il n'est en rien responsable...