Cela arrive souvent, trop souvent, devrais-je dire ! Vous vous asseyez à une table de restaurant et, si tout va bien, on vous amène la carte... En même temps, pour pouvoir vous servir convenablement, on vous demande si vous désirez un apéritif. Et c'est là que les choses se compliquent. Alors que vous êtes toujours plongé dans votre lecture, une charmante serveuse ou un beau serveur s'approche pour déposer votre apéritif devant vous...
Et ce n'est pas tout. Comme vous fréquentez les bonnes maisons, l'apéritif sera accompagné de zakouski (sans "s") tous meilleurs les uns que les autres... La difficulté commence réellement quand vous devez écouter religieusement la description des dits zakouski, récitée d'une voix assurée. Comme vous êtes poli, vous baisser la carte pour apercevoir les merveilles que l'on est en train de vous décrire.
Le drame approche, vous êtes insensiblement attiré par le fumet s'échappant des préparations, mais où poser la carte ? À gauche ? Impossible, l'assiette destinée au pain s'y trouve déjà et y déposer la carte serait aussi audacieux que déposer un litre de nitroglycérine sur un plancher ciré de la Tour de Pise ! À droite ? Vicieusement on y a posé votre délicieux apéritif !
En général quand cela m'arrive, je dépose tout simplement la carte entre ma jambe et le pied de la table pour déguster calmement les délices du chef et siroter mon apéro.
Très vite, on vient prendre votre commande et, si on ne l'oublie pas, on vous débarrasse de cette encombrante carte. Ouf, ça y est ! Vous êtes libre !
Et bien non, on vient immédiatement vous donner la carte des vins !
Et ce n'est pas tout. Comme vous fréquentez les bonnes maisons, l'apéritif sera accompagné de zakouski (sans "s") tous meilleurs les uns que les autres... La difficulté commence réellement quand vous devez écouter religieusement la description des dits zakouski, récitée d'une voix assurée. Comme vous êtes poli, vous baisser la carte pour apercevoir les merveilles que l'on est en train de vous décrire.
Le drame approche, vous êtes insensiblement attiré par le fumet s'échappant des préparations, mais où poser la carte ? À gauche ? Impossible, l'assiette destinée au pain s'y trouve déjà et y déposer la carte serait aussi audacieux que déposer un litre de nitroglycérine sur un plancher ciré de la Tour de Pise ! À droite ? Vicieusement on y a posé votre délicieux apéritif !
En général quand cela m'arrive, je dépose tout simplement la carte entre ma jambe et le pied de la table pour déguster calmement les délices du chef et siroter mon apéro.
Très vite, on vient prendre votre commande et, si on ne l'oublie pas, on vous débarrasse de cette encombrante carte. Ouf, ça y est ! Vous êtes libre !
Et bien non, on vient immédiatement vous donner la carte des vins !
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