Ce que j'aurais aimé
Ce que j'aurais aimé, c'est de conduire ! Pas une voiture, bien sûr, pas un camion. Non, conduire un orchestre et un grand orchestre ! Je m'imagine devant quatre-vingts musiciens attentifs. Un petit coup de baguette sur le pupitre et, c'est parti.
Pom Pom Pom Poooom ! En avant pour Beethoven et sa cinquième symphonie. Mes yeux se déplacent vers l'un ou l'autre des groupes de musiciens passant des cordes aux cuivres pour encourager ou montrer mon mécontentement. Les yeux c'est vital pour diriger un orchestre et puis c'est pratique, les spectateurs ne les voient pas !
Quand on est assis dans une salle de concert, on ne voit que le dos du chef et ses mains. La baguette est en général fort fine et on la devine plus qu'on ne la voit. Elle est le prolongement de la main droite et seuls les musiciens en perçoivent tous les mots. C'est que ça parle une baguette, ça crie, ça félicite, ça gronde, ça calme, ça impose le silence ou ça gueule !
Je ne suis pas (encore) chef d'orchestre mais qui sait si, un jour, on ne viendra pas me chercher ? Moi je suis prêt à relever le défi !
Une seconde, une minute, une heure
Texte avec pour contrainte, un laps de temps par paragraphe
Une seconde ! Voilà bien une expression galvaudée. Le commerçant pressé qui vous dit : "je suis à vous dans une seconde" ou "une seconde, j'arrive" et cela dure des heures...
Une minute, une belle unité de mesure pour les sociétés de téléphonie.
Taxation à la minute, dit-on. Taxation à la seconde, réclament les consommateurs.
Une minute pour dire tant de chose à un être cher ou une minute de silence, le onze novembre...
Une heure pour le repas de midi, une heure de fourche, une heure d'attente à l'hôpital. Je me demande toujours si ces toutes ces heures sont identiques. À l'école il existe même des heures de cinquante minutes, c'est vous dire...
Une seconde, une minute, une heure ? Qu'importe, j'ai le temps...
Ce que j'aurais aimé, c'est de conduire ! Pas une voiture, bien sûr, pas un camion. Non, conduire un orchestre et un grand orchestre ! Je m'imagine devant quatre-vingts musiciens attentifs. Un petit coup de baguette sur le pupitre et, c'est parti.
Pom Pom Pom Poooom ! En avant pour Beethoven et sa cinquième symphonie. Mes yeux se déplacent vers l'un ou l'autre des groupes de musiciens passant des cordes aux cuivres pour encourager ou montrer mon mécontentement. Les yeux c'est vital pour diriger un orchestre et puis c'est pratique, les spectateurs ne les voient pas !
Quand on est assis dans une salle de concert, on ne voit que le dos du chef et ses mains. La baguette est en général fort fine et on la devine plus qu'on ne la voit. Elle est le prolongement de la main droite et seuls les musiciens en perçoivent tous les mots. C'est que ça parle une baguette, ça crie, ça félicite, ça gronde, ça calme, ça impose le silence ou ça gueule !
Je ne suis pas (encore) chef d'orchestre mais qui sait si, un jour, on ne viendra pas me chercher ? Moi je suis prêt à relever le défi !
Une seconde, une minute, une heure
Texte avec pour contrainte, un laps de temps par paragraphe
Une seconde ! Voilà bien une expression galvaudée. Le commerçant pressé qui vous dit : "je suis à vous dans une seconde" ou "une seconde, j'arrive" et cela dure des heures...
Une minute, une belle unité de mesure pour les sociétés de téléphonie.
Taxation à la minute, dit-on. Taxation à la seconde, réclament les consommateurs.
Une minute pour dire tant de chose à un être cher ou une minute de silence, le onze novembre...
Une heure pour le repas de midi, une heure de fourche, une heure d'attente à l'hôpital. Je me demande toujours si ces toutes ces heures sont identiques. À l'école il existe même des heures de cinquante minutes, c'est vous dire...
Une seconde, une minute, une heure ? Qu'importe, j'ai le temps...
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