Pour moi, ces lendemains de fêtes sont toujours des jours difficiles.
Manger du cougnou puis de la bûche, l'une ou l'autre friandise offerte par le Papa de Micheline est toujours synonyme d'aigreur d'estomac la nuit suivante.
2009 n'a pas dérogé à la tradition. Et c'est dons très "barbouillé" que je me suis levé ce matin.
Ce midi, nous avions décidé d'aller manger une simple viande grillée. Aucun des restaurants que nous avons contactés n'était ouvert ce lendemain de Noël. Le hasard du parking en ville a mené nos pas vers l'Impérial, un vieux classique de Charleroi.
Nous fréquentons cette bonne maison depuis près de 40 ans sans aucune mauvaise surprise. Et nous n'avons pas résisté à un petit fondu au parmesan ni aux lasagnes maison.
C'est bizarre depuis ma sortie de ce restaurant, je me sens mieux !
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