Le TEC Charleroi vient de licencier son chauffeur impliqué dans une agression contre un passager. Son emprisonnement avait déclenché une grève sauvage de six jours... Il est vrai que le temps clément est toujours favorable au déclenchement d'une grève. Durant ma carrière, j'en ai connu des départs en grève dès que le soleil montrait son premier rayon !
Je me pose des questions :
- Pourquoi a-t-il fallu attendre six jours ? Les faits avérés n'ont pas changé depuis.
- Pourquoi, si le cas semble clair - on ne licencie pas ainsi sans être sûr - le mouvement de grève s'est-il déclenché ?
- Que va-t-il se passer, maintenant ?
J'imagine bien que le travail va reprendre. Mais dans quel état d'esprit seront les chauffeurs ? Pour des grévistes, être désapprouvé par les organisations syndicales n'est pas facile.
Je me pose des questions :
- Pourquoi a-t-il fallu attendre six jours ? Les faits avérés n'ont pas changé depuis.
- Pourquoi, si le cas semble clair - on ne licencie pas ainsi sans être sûr - le mouvement de grève s'est-il déclenché ?
- Que va-t-il se passer, maintenant ?
J'imagine bien que le travail va reprendre. Mais dans quel état d'esprit seront les chauffeurs ? Pour des grévistes, être désapprouvé par les organisations syndicales n'est pas facile.
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