"Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre
Que serais-je sans toi qu'un cœur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement ?"...
Cette chanson de 1964 sur un poème de Louis Aragon me trotte dans la tête depuis ce matin où une amie très chère a décidé d'en parler.
Merci Chère Joëlle d'avoir parlé de "Que serais-je sans toi", de son interprète et surtout de ce merveilleux texte.
Il est quelque fois bon de revenir à ces grands classiques de la chanson et de la poésie française plutôt que de fredonner la dernière rengaine à la mode. Cela fait du bien au cœur et à l'esprit et cela montre que les bonnes chansons n'ont pas d'âge.
Ou alors si peu...
Que serais-je sans toi qu'un cœur au bois dormant
Que cette heure arrêtée au cadran de la montre
Que serais-je sans toi que ce balbutiement ?"...
Cette chanson de 1964 sur un poème de Louis Aragon me trotte dans la tête depuis ce matin où une amie très chère a décidé d'en parler.
Merci Chère Joëlle d'avoir parlé de "Que serais-je sans toi", de son interprète et surtout de ce merveilleux texte.
Il est quelque fois bon de revenir à ces grands classiques de la chanson et de la poésie française plutôt que de fredonner la dernière rengaine à la mode. Cela fait du bien au cœur et à l'esprit et cela montre que les bonnes chansons n'ont pas d'âge.
Ou alors si peu...
2 commentaires:
Superbe chanson que j'aimais beaucoup et à laquelle je pense souvent encore.
Mais - et tu vas rire - à l'époque on ne mettait pas les paroles au dos du disque, et j'accompagnais romantiquement Jean Ferrat en chantant "que serais-je sans toi, dans ce bal du ciment?"
Ça n'avait pas de sens, mais bon, je me disais que comme c'était de la poésie.... :-)
Cela donne évidemment un tout autre visage à la chanson !
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