Le Marché de la Poésie auquel Micheline a participé cette année en proposant ses livres sur le stand de Chloé des Lys, son éditeur, n'a pas failli à la tradition. Durant toute la journée, nous avons eu droit à des "conférences" de présentation des oeuvres poétiques de différents auteurs francophones et autres.
Le seul ennui est que ces conférences se tiennent dans la salle où sont présents les éditeurs et leurs livres qu'ils proposent à la vente... Comment vendre sans parler, sans déranger le conférencier ou, sacrilège suprême, le lecteur au débit étrange déversant les vers plus ou moins bons d'un barde canadien ou des traductions remarquables, paraît-il, d'auteurs allemands du XIXe siècle et je ne vous parlerai pas de poèmes récités en espagnol ?
Nous nous sommes donc tous réfugiés dans le bar salon où nous avons pu continuer à converser gentiment sans coup d'oeil assassin ou doigt sur les lèvres du cerbère de service.
Quand je pense qu'il existe dans cette maison une petite salle de spectacle parfaitement équipée et qui est restée vide... Et quand nous avons proposé cette solution (pour l'année prochaine) à l'un des responsables, il a paru étonné que nous ayions pensé à cela alors qu'eux ne l'avaient même pas envisgé !
Vengeance pour les modernes iconoclastes que nous sommes, le soir, la Maison de la Poésie accueille une soirée "SLAM" avec, entre autres, notre ami Auguste le Rwandais rencontré au Centre d'accueil des Immigrés à Florennes en 2006. Vas-y Auguste, ne te laisse pas influencer. À 21 ans on est prêt à conquérir le monde, non ?
Le seul ennui est que ces conférences se tiennent dans la salle où sont présents les éditeurs et leurs livres qu'ils proposent à la vente... Comment vendre sans parler, sans déranger le conférencier ou, sacrilège suprême, le lecteur au débit étrange déversant les vers plus ou moins bons d'un barde canadien ou des traductions remarquables, paraît-il, d'auteurs allemands du XIXe siècle et je ne vous parlerai pas de poèmes récités en espagnol ?
Nous nous sommes donc tous réfugiés dans le bar salon où nous avons pu continuer à converser gentiment sans coup d'oeil assassin ou doigt sur les lèvres du cerbère de service.
Quand je pense qu'il existe dans cette maison une petite salle de spectacle parfaitement équipée et qui est restée vide... Et quand nous avons proposé cette solution (pour l'année prochaine) à l'un des responsables, il a paru étonné que nous ayions pensé à cela alors qu'eux ne l'avaient même pas envisgé !
Vengeance pour les modernes iconoclastes que nous sommes, le soir, la Maison de la Poésie accueille une soirée "SLAM" avec, entre autres, notre ami Auguste le Rwandais rencontré au Centre d'accueil des Immigrés à Florennes en 2006. Vas-y Auguste, ne te laisse pas influencer. À 21 ans on est prêt à conquérir le monde, non ?
2 commentaires:
Merci pour ce petit mot, qui me fait plaisir, et à 21 ans je croque la vie... je vous remercie pour votre amitié et surtout votre bonté...
à très bientôt
Auguste
Sois heureux, Cher Auguste...
Merci de ton amitié
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