Vous le savez (voir 23 décembre), un de mes contes s'appelle "Le pommier de mon grand-père". Il commence par cette phrase : "Mon Grand-Père aimait les pommes" et comme une partie de l'histoire se déroule en Chine, j'ai décidé de la terminer par cette même phrase mais en chinois.
Ma charmante voisine (voir l'article daté du 28 décembre 2007) qui est d'origine taïwanaise m'a aidé. Et c'est ainsi que depuis quelques jours, je répète "WA DÂ TSOU FOU CHI WAÏN TCHIE PINKÔ" qui, d'après elle, est phonétiquement la traduction de la fameuse phrase.
Si l'un de vous pouvait me rassurer et me confirmer que cette phrase est bien dite et surtout que sa signification est bien celle que je crois...
Je n'ai vraiment pas envie d'aller un jour conter devant des chinois et les voir rire ou pleurer en m'écoutant !
Une fois suffit, j'ai déjà eu un problème similaire avec un mot finlandais. Mais cela c'est une autre histoire, comme disait Kipling.
C'est promis, je vous la raconterai un jour.
Ma charmante voisine (voir l'article daté du 28 décembre 2007) qui est d'origine taïwanaise m'a aidé. Et c'est ainsi que depuis quelques jours, je répète "WA DÂ TSOU FOU CHI WAÏN TCHIE PINKÔ" qui, d'après elle, est phonétiquement la traduction de la fameuse phrase.
Si l'un de vous pouvait me rassurer et me confirmer que cette phrase est bien dite et surtout que sa signification est bien celle que je crois...
Je n'ai vraiment pas envie d'aller un jour conter devant des chinois et les voir rire ou pleurer en m'écoutant !
Une fois suffit, j'ai déjà eu un problème similaire avec un mot finlandais. Mais cela c'est une autre histoire, comme disait Kipling.
C'est promis, je vous la raconterai un jour.
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