Que n'en parlait-on de ce premier de l'an quand j'étais jeune !
Des visites qui commençaient vers 11 heures chez des voisins, qui continuaient par un passage obligé chez les vieilles tantes et oncles de mon père pour se terminer chez d'autres voisins avec partout la même phrase : "Bonne Année et Bonne Santé".
Chaque adresse avait sa "spécialité", les galettes classiques, la boîte en fer de biscuits Delacre avec les photos de la famille royale, le verre de porto obligatoire même si je n'appréciais guère, les fines galettes au goût de cannelle, l'eau de Chevron (ancêtre de la Bru !) ou la rencontre des cousins que nous ne voyions que ce jour-là... J'en oublie sûrement.
À présent, on envoie ses vœux par mail ou par SMS, on n'échange plus des paquets de galettes ni de ballotins de pralines.
Micheline et moi sommes toujours fidèles à quelques rares visites, aux cartes de vœux et aux coups de téléphone à la famille et aux amis lointains.
Des visites qui commençaient vers 11 heures chez des voisins, qui continuaient par un passage obligé chez les vieilles tantes et oncles de mon père pour se terminer chez d'autres voisins avec partout la même phrase : "Bonne Année et Bonne Santé".
Chaque adresse avait sa "spécialité", les galettes classiques, la boîte en fer de biscuits Delacre avec les photos de la famille royale, le verre de porto obligatoire même si je n'appréciais guère, les fines galettes au goût de cannelle, l'eau de Chevron (ancêtre de la Bru !) ou la rencontre des cousins que nous ne voyions que ce jour-là... J'en oublie sûrement.
À présent, on envoie ses vœux par mail ou par SMS, on n'échange plus des paquets de galettes ni de ballotins de pralines.
Micheline et moi sommes toujours fidèles à quelques rares visites, aux cartes de vœux et aux coups de téléphone à la famille et aux amis lointains.
2 commentaires:
Meilleurs voeux pour 2010.
Philippe (le grand de TAS)
Toutes ces visites avaient un charme qu'on ne comprenait pas alors... Chez mon grand-père, c'était la fine Napoléon, qu'on n'aimait pas, mais on y trempait des madeleinettes pour "faire passer le mauvais goût". On recevait des marrons glacés et une envelope!
Ma grand mère avait du rouge à joue uniquement ce jour-là, je parie que sa poudre a duré trente ans à cette allure, et on avait le porto.
Qu'ils me manquent, et que le sens du rituel est précieux...
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