Au mois de septembre, je vous avais parlé de mon ami Paul. Hier soir, on m'a appris son décès.
Nous étions encore allés le voir jeudi dernier. Il était déjà presque inconscient et ne nous avait même pas fait un petit signe comme il en avait l'habitude ces derniers temps.
Depuis deux ans, il était à moitié paralysé, ne parlait que par mono-syllabes et depuis quelques semaines, il ne communiquait plus guère que par geste.
Il est parti comme il a toujours vécu. Sans faire de bruit, sur la pointe des pieds. Mais en attendant il laisse les siens désemparés. Mes pensées vont vers sa femme qui a été d'un courage exemplaire face à tous les problèmes puis à ses enfants et petits-enfants que j'ai vu naître et grandir.
De notre vie commune aux ACEC, je garde des souvenirs de travail intensif, de fous rires ravageurs et de réunions surréalistes... Et c'est bien ainsi.
Nous étions encore allés le voir jeudi dernier. Il était déjà presque inconscient et ne nous avait même pas fait un petit signe comme il en avait l'habitude ces derniers temps.
Depuis deux ans, il était à moitié paralysé, ne parlait que par mono-syllabes et depuis quelques semaines, il ne communiquait plus guère que par geste.
Il est parti comme il a toujours vécu. Sans faire de bruit, sur la pointe des pieds. Mais en attendant il laisse les siens désemparés. Mes pensées vont vers sa femme qui a été d'un courage exemplaire face à tous les problèmes puis à ses enfants et petits-enfants que j'ai vu naître et grandir.
De notre vie commune aux ACEC, je garde des souvenirs de travail intensif, de fous rires ravageurs et de réunions surréalistes... Et c'est bien ainsi.
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