Hier, un de mes anciens collègues m'a écrit parce qu'il avait constaté que je n'avais pas consacré un des mes articles aux festivités de Saint Éloi.
Si cette fête faisait partie de la vie de l'usine où j'ai fait toute ma carrière, elle était bien plus suivie dans les années 70-80 que maintenant.
En général, cela débutait vers neuf heures par un petit déjeuner, histoire de ne pas commencer à boire le ventre vide ! Après, les festivités commençaient dans chaque service d'abord puis les groupes se formaient pour aller de bureau en bureau pour souhaiter une bonne fête à chacun et à chacune.
Et c'est là que les problèmes arrivaient. En effet, chaque service avait ses "spécialités" en matière d'alcool et malheur à celui qui ne supportait pas trop les mélanges !
Souvent, pour midi, on décidait d'aller manger en ville et je me souviens de certaines années où j'ai essayé pendant de longues minutes de regrouper les convives. Dès que j'en avais trouvé un, un autre disparaissait !
Puis vinrent les années 90. La direction devint de plus en plus réticente à laisser boire dans le bâtiment. Cela a commencé avec une extinction des feux provoquée par le Chef du Personnel (ancêtre du H.R.M.) puis il a été décidé de fêter cela en dehors de l'usine dans une salle sans âme et l'ambiance a bien baissé...
Je dois dire qu’à partie de cette date, je n’y ai plus participé…
Si cette fête faisait partie de la vie de l'usine où j'ai fait toute ma carrière, elle était bien plus suivie dans les années 70-80 que maintenant.
En général, cela débutait vers neuf heures par un petit déjeuner, histoire de ne pas commencer à boire le ventre vide ! Après, les festivités commençaient dans chaque service d'abord puis les groupes se formaient pour aller de bureau en bureau pour souhaiter une bonne fête à chacun et à chacune.
Et c'est là que les problèmes arrivaient. En effet, chaque service avait ses "spécialités" en matière d'alcool et malheur à celui qui ne supportait pas trop les mélanges !
Souvent, pour midi, on décidait d'aller manger en ville et je me souviens de certaines années où j'ai essayé pendant de longues minutes de regrouper les convives. Dès que j'en avais trouvé un, un autre disparaissait !
Puis vinrent les années 90. La direction devint de plus en plus réticente à laisser boire dans le bâtiment. Cela a commencé avec une extinction des feux provoquée par le Chef du Personnel (ancêtre du H.R.M.) puis il a été décidé de fêter cela en dehors de l'usine dans une salle sans âme et l'ambiance a bien baissé...
Je dois dire qu’à partie de cette date, je n’y ai plus participé…
2 commentaires:
Juste un petit bonjour de NICE...
J'ai découvert votre blog par hasard...J'ai eu du plaisir à vous lire...Moi aussi j'écris pour m'amuser...Si cela vous tente voici mes blogs...Bises de Chantal et merci.
http://ccommechantal.blogspot.com
http://chantaldenice.blogspot.com
A bientôt...
Ça rappelle un peu les tournées du facteur au Nouvel-An, le pauvre, de pekèt en pekèt il était de plus en plus joyeux, moins frileux, son escarcelle se remplissait d'étrennes ... mais qu'est-ce qu'il devait prendre en rentrant!
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