Il y a quelques jours, je vous ai raconté mes recherches de pains pendant ce mois de juillet...
Ce matin, tout heureux d'être le 2 août, je téléphone à ma boulangère pour réserver, comme d'habitude, un pain pour dimanche.
"Mon mari et moi avons décidé de mettre fin à notre commerce ! Comme notre ouvrier est malade depuis plusieurs mois et sans grand espoir de retour, la vie était devenue impossible et mon mari n'a plus le feu sacré pour mettre quelqu'un au courant. D'ailleurs, nous n'avons même pas trouvé un ouvrier digne de ce nom depuis le mois de mai !"
Là, je suis resté sans voix ! C'est vrai que depuis plusieurs semaines, cette brave dame aidait son mari pour la fabrication puis travaillait dans son magasin toute la journée pour servir ses clients, mais quand même, me faire ça à moi !
J'ai baragouiné une phrase incompréhensible puis j'ai raccroché.
C'est maintenant que je viens de me rendre compte de ma bêtise. J'aurais dû lui demander où elle allait désormais chercher son pain !
Ce matin, tout heureux d'être le 2 août, je téléphone à ma boulangère pour réserver, comme d'habitude, un pain pour dimanche.
"Mon mari et moi avons décidé de mettre fin à notre commerce ! Comme notre ouvrier est malade depuis plusieurs mois et sans grand espoir de retour, la vie était devenue impossible et mon mari n'a plus le feu sacré pour mettre quelqu'un au courant. D'ailleurs, nous n'avons même pas trouvé un ouvrier digne de ce nom depuis le mois de mai !"
Là, je suis resté sans voix ! C'est vrai que depuis plusieurs semaines, cette brave dame aidait son mari pour la fabrication puis travaillait dans son magasin toute la journée pour servir ses clients, mais quand même, me faire ça à moi !
J'ai baragouiné une phrase incompréhensible puis j'ai raccroché.
C'est maintenant que je viens de me rendre compte de ma bêtise. J'aurais dû lui demander où elle allait désormais chercher son pain !
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